A ce stade de l’étude, il n’y a pas d’intégration des charges internes ( occupants, nbre de poste, équipements,..) afin d’étudier l’état des consommations en énergie et le confort d’été du bâtiment selon le cahier des charges établi et les zones d’aménagement brut.
Les premiers résultats indiquent :
- une consommation en énergie de l’ordre de 17 KWh/m²/an ( une bonne performance )
- un confort d’été médiocre voire mauvais ( base confort : +ou- 100H à + 28°C sur l’année ) : résultat entre 1500 & 2500H
Ces résultats résultent d’une surface vitrée relativement importante sur le bâtiment ( chauffage naturel par un bon ensoleillement l’hiver et surchauffe l’été)
En améliorant le confort d’été, les performances de consommation d’énergie diminueront à priori selon les solutions ou préconisations retenues.
Premières simulations de préconisations :
Parmi les simulations d’options retenues telles que l’isolation intérieure/extérieure renforcée, inertie renforcée, ventilation bypass d’été peu convaincante, il en ressort un résultat amélioré par la surventilation d’été ( 5X vol d’été ) et/ou la ventilation nocturne abaissant la chaleur ( jusqu’à 40% )
Les solutions de gains solaires telles que les menuiseries triple vitrage isolantes et/ou les stores extérieures apportent une bonne ou très bonne performance au confort d’été ; les casquettes extérieures y contribuent également.
A ce stade, les premières simulations d’amélioration sont étudiés en complétant les casquettes extérieures et en plaçant des éléments vitrés opaques en alternance avec les vitrages standard selon les expositions et les niveaux de lumière du jour nécessaire.
Il est prévu de compléter l’étude par l’intégration des charges internes.
Il est également adopté le principe de recherche de solutions de rafraîchissement autres que la climatisation dans le cadre d’un traitement global centralisé modulable par grandes zones de bâtiment.
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